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L’écoute active, c’est pas juste hocher la tête (et dire “mmh mmh”)

par | Mai 20, 2025

Vous voyez ce collègue en visio qui hoche la tête toutes les 3 secondes, yeux mi-clos, sourire figé, pendant que vous racontez votre burn-out du mardi matin ? Oui, lui. Félicitations : vous venez d’expérimenter l’opposé de l’écoute active. Parce que “l’écoute active. Tout le monde en parle mais comment fait-on en vrai ?”Entre ceux qui pensent que tendre l’oreille suffit, et ceux qui récitent “je te comprends” comme un mantra vide, y’a un vrai flou artistique. Spoiler : écouter, ce n’est pas attendre son tour pour parler. Ce n’est pas non plus faire semblant d’être attentif pendant que vous planifiez votre dîner (tagliatelles ou pizza ?). C’est un art. Un muscle. Et devinez quoi ? Il se travaille. On va vous montrer comment écouter activement, pour de vrai. Avec des techniques simples, des exemples concrets, et surtout, avec un peu d’autodérision (parce qu’on a tous été ce collègue distrait un jour). Et si à la fin, vous avez envie de passer à la vitesse supérieure, on vous glisse même une astuce pour vous former.

L’écoute active : non, ce n’est pas juste écouter en silence

Commençons par une petite vérité qui pique : écouter activement, ce n’est pas juste se taire pendant que l’autre parle. Si c’était aussi simple, vos réunions auraient déjà changé le monde (et vous seriez au RSA de la sagesse). L’écoute active, c’est un peu comme un bon plat maison : ça demande des ingrédients, du temps, et un minimum d’intention. Parce que rester silencieux tout en pensant à vos prochaines vacances à Biarritz, ce n’est pas vraiment de la présence. C’est du tourisme mental.

Écoute passive, écoute active, écoute sélective : faites votre choix (spoiler, un seul est utile)

  • L’écoute passive, c’est celle qu’on subit dans les réunions du lundi matin. Vous entendez, mais vous ne captez rien. L’esprit est là, mais le cœur est sur Do Not Disturb.

  • L’écoute sélective, elle, c’est l’art d’entendre uniquement ce qui vous arrange. Exemple : votre manager dit “On va devoir faire des efforts collectifs”, vous entendez “les autres vont devoir bosser plus”.

  • Et enfin, l’écoute active. La vraie. Celle qui implique une attention sincère, une volonté de comprendre ce que l’autre dit et ce qu’il veut dire. Une écoute où on laisse ses jugements à la porte, où on pose des questions, où on reformule pour vérifier qu’on a bien pigé. (Oui, parfois, ça veut dire dire des trucs comme : “Si je vous suis bien, vous vous sentez mis de côté depuis la réorganisation ?” — et pas “Oh non, pas encore un qui fait sa diva”).

Écouter, ce n’est pas attendre son tour pour parler

C’est là que réside l’arnaque : beaucoup de gens confondent “écouter” avec “attendre leur moment pour briller”. L’écoute active, c’est justement ne pas préparer sa réponse pendant que l’autre parle. C’est suspendre le réflexe de “réagir” pour choisir celui de “comprendre”. Et c’est aussi une posture. Une vraie. Une où vous êtes là, entier·e, engagé·e, concentré·e. Ce n’est pas méditatif (vous n’êtes pas un moine tibétain), mais presque. Bref, écouter activement, c’est faire preuve de curiosité, d’attention et, osons le mot d’humilité. Parce qu’on n’écoute pas pour briller. On écoute pour connecter.

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Quand tu mets le mode écoute active niveau expert et que même tes mains sont en train de tendre l’oreille. (Prochaine étape : capter les émotions par télépathie.)

Vous parlez souvent en visio, mais on ne vous écoute qu’à moitié ? Apprenez à capter l’attention même à travers un écran avec notre formation dédiée.

Pourquoi l’écoute active est la meilleure soft skill que vous avez toujours négligée

Ok, vous êtes un expert dans votre domaine, vous connaissez vos chiffres par cœur, et vous maîtrisez les logiciels comme personne. Mais… avouez-le, vous avez sûrement négligé un détail important : l’écoute active. On vous entend déjà : « Mais j’écoute déjà ! Je suis attentif·ve, je fais semblant de regarder les yeux dans les yeux et je souris quand il faut. » Oui, mais non. L’écoute active, c’est pas juste un gadget que vous ajoutez à votre CV sous « Compétences », c’est un vrai super-pouvoir qui peut transformer vos relations professionnelles. Bon, ok, vous n’allez pas commencer à lire l’avenir des gens, mais vous allez nettement mieux comprendre ce qu’ils veulent vraiment dire.

L’écoute active : l’arme secrète des bons managers et recruteurs

Imaginez la scène : vous êtes en entretien avec un candidat qui parle de ses compétences, de ses ambitions, mais vous, vous êtes ailleurs. Pas idéal, non ? Maintenant, imaginez que vous êtes ce même candidat, et que la personne en face de vous vous écoute vraiment, réagit à ce que vous dites, pose des questions pertinentes, reformule vos propos pour s’assurer de vous avoir bien compris. La différence ? Énorme. Dans un entretien, l’écoute active va bien plus loin que l’aspect “vérification des compétences”. Elle vous permet de percevoir des indices subtils, de repérer des signaux non verbaux, de capter des détails que l’autre n’a pas forcément dits mais qui sont pourtant essentiels. Vous arrivez à créer un véritable lien avec la personne en face de vous, et ça, c’est pas donné à tout le monde.

L’écoute active : un boost pour votre réseau (et votre esprit)

En dehors des entretiens, l’écoute active est l’outil idéal pour renforcer vos relations professionnelles et vous faire remarquer (en bien, évidemment). Plutôt que de rester là, à hocher la tête en attendant que l’autre termine son monologue pour pouvoir enfin parler de votre dernier voyage à Bali, vous montrez que vous êtes réellement engagé. Que vous êtes un·e leader authentique, capable de comprendre les enjeux de votre équipe. Et la cerise sur le gâteau ? Cela vous permet d’améliorer votre intelligence émotionnelle. En pratiquant l’écoute active, vous devenez plus conscient·e de vos émotions, de celles des autres, et de l’impact de vos réponses. Un vrai boost pour votre compétence relationnelle, qui ne manquera pas d’être remarquée dans votre travail au quotidien.

Et dans la vie personnelle, ça marche aussi !

L’écoute active ne se limite pas aux bureaux et aux interviews. Non, non. Elle peut changer la donne dans vos conversations avec vos amis, vos proches, vos enfants, ou même votre partenaire qui râle parce que vous n’écoutez jamais quand il ou elle parle de son travail. C’est simple : vous montrez de l’empathie, vous donnez du poids aux propos de l’autre, et vous renforcez la confiance. Plus de malentendus, plus de quiproquos, et plus de moments où vous avez l’air de regarder ailleurs tout en prétendant que vous suivez. Voilà pourquoi l’écoute active est LA soft skill dont vous avez besoin. Non seulement elle fait de vous un meilleur collègue, mais elle vous permet aussi d’être plus attentif·ve, plus empathique et, soyons honnêtes, bien plus apprécié·e dans vos interactions.

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Quand tu expliques l’écoute active… et qu’ils rient parce qu’ils se reconnaissent tous dans le mec qui coupe la parole toutes les 4 secondes. (Oui, Jean-Marc, on parle de toi.)

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Les 4 techniques d’écoute active que vous pouvez utiliser dès demain (sans avoir fait dix ans de psychanalyse)

Ok, c’est bien joli tout ça, mais on ne va pas se mentir, vous voulez des résultats concrets. Des trucs que vous pouvez appliquer tout de suite, sans avoir à passer des heures à méditer sur le sens de la vie. Alors, voici les 4 techniques d’écoute active à maîtriser. Promis, c’est pas sorcier, et vous n’aurez même pas besoin de devenir un gourou spirituel pour les intégrer dans vos conversations.

1. La reformulation (mais pas celle du robot)

La reformulation, c’est l’une des bases de l’écoute active. Vous entendez ce que l’autre dit, puis vous le répétez à votre manière pour être sûr de bien comprendre. Mais attention, ça ne veut pas dire répéter bêtement les mots. Non, non. Vous devez reformuler de façon à montrer que vous avez bien saisi le fond du message. Par exemple :

  • L’autre : « J’ai du mal à gérer mon équipe en ce moment, je ne sais pas comment les motiver. »

  • Vous : « Si je comprends bien, vous vous sentez un peu perdu·e sur la manière de fédérer votre équipe et de les impliquer davantage, c’est bien ça ? »

L’idée, c’est de vérifier votre compréhension et de prouver à l’autre qu’il est bien entendu. Par contre, oubliez la reformulation trop mécanique du genre « Donc, vous me dites que… ». Ça, ça fait plus réplique d’agent de service clientèle que véritable écoute.

2. Le silence actif (sans regarder votre téléphone)

Ah, le silence actif. C’est comme ça qu’on l’appelle quand vous ne parlez pas, mais que vous écoutez de façon intense. Ça peut être dur, surtout si vous êtes du genre à toujours vouloir avoir quelque chose à dire, mais croyez-moi, c’est essentiel. Le silence actif, c’est laisser l’autre finir ce qu’il ou elle a à dire, sans l’interrompre. Cela vous permet de réfléchir à ce que vous venez d’entendre et de répondre de manière plus réfléchie. C’est un peu comme une pause, un instant pour digérer les informations. Petit conseil : évitez le silence gênant où vous vous retrouvez à regarder vos ongles en attendant que l’autre parle. Faites-en un silence complice. Un regard, un léger hochement de tête, tout ça fait partie du jeu.

3. Le langage corporel aligné (pas besoin de jouer la statue)

Saviez-vous que votre corps parle avant même que vous ouvriez la bouche ? Eh bien, l’écoute active, c’est aussi cela : utiliser votre posture et vos gestes pour montrer que vous êtes engagé. Cela signifie se pencher légèrement en avant, maintenir un contact visuel (pas un regard fixe de psychopathe non plus), et acquiescer avec la tête, tout en évitant de regarder le plafond ou de jouer avec votre stylo. L’idée ici, c’est de réagir physiquement à ce que l’autre dit. Vous n’êtes pas un robot, donc laissez votre corps être un reflet de votre engagement. Mais, hein, n’allez pas trop loin non plus. Si vous êtes trop intense dans vos gestes, vous risquez de faire peur à l’autre. Ne soyez pas ce collègue qui hoquette en posant une question, avec une tête déformée par l’excès d’attention. C’est tout un équilibre.

4. Les questions ouvertes (et pas « Tu veux un café ? »)

Les questions ouvertes sont un outil magique de l’écoute active. C’est ce qui va vous permettre de creuser davantage et de mieux comprendre l’autre. Oubliez les questions fermées qui tuent la conversation du genre : « Tu vas bien ? » (le fameux oui ou non). Non, vous voulez des questions qui ouvrent la porte à une discussion plus riche.

Exemple :

  • Question fermée : « Tu as eu une bonne réunion ? »

  • Question ouverte : « Qu’est-ce qui t’a marqué dans cette réunion ? »

Vous voyez la différence ? La première question appelle à un « oui » ou « non ». La seconde invite à une réponse plus détaillée, ce qui vous permet de mieux comprendre les pensées et sentiments de l’autre.En plus, poser des questions ouvertes vous permet de montrer à l’autre qu’il a de l’importance et que vous voulez vraiment comprendre son point de vue.

Ces 4 techniques sont un peu comme des outils dans votre boîte à outils de la communication. Plus vous les utilisez, plus vous deviendrez un as de l’écoute active, capable de capter toutes les nuances dans les échanges. Alors, prêt·e à les mettre en pratique dès demain, même si vous n’avez pas de diplôme en psychologie ? Si vous êtes encore hésitant·e, sachez qu’il existe des formations qui vous aideront à perfectionner tout ça. Mais je vous assure, ça commence par des petites actions au quotidien. Et si jamais vous avez envie de plonger plus profondément dans l’univers de l’écoute active et de la communication bienveillante… Repliks a quelques astuces à vous partager.

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Tous deux concentrés, attentifs, silencieux… On dirait presque qu’ils pratiquent l’écoute active. (Ou qu’ils essaient de comprendre le brief client pour la première fois.)

🎯 Marre de bafouiller dès qu’on vous pose une question en entretien ? Découvrez la méthode STAR et apprenez à répondre avec impact juste ici.

Apprendre à écouter, ça s’apprend (et Repliks peut vous aider à le faire sans vous endormir)

Oui, l’écoute active, ça s’apprend. Et non, pas besoin de partir faire une retraite silencieuse de 12 jours en Ardèche avec des moines bouddhistes. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous former, ici et maintenant, et même y prendre du plaisir (oui, on a osé le mot). Parce qu’apprendre à écouter vraiment, ce n’est pas juste pour « faire bien » en réunion. C’est un levier puissant pour :

  • éviter les malentendus à répétition,

  • améliorer la qualité de vos échanges professionnels,

  • créer de la confiance,

  • et surtout : devenir ce collègue qu’on a envie d’avoir en réunion (vous savez, celui qui écoute VRAIMENT et qui ne coupe pas la parole pour parler de son week-end en van).

Repliks, le petit coup de pouce pour devenir un pro de l’écoute (sans ronfler au module 2)

Chez Repliks, on a bien compris que les formations avec 73 slides PowerPoint et des intervenants qui parlent comme s’ils lisaient le bottin, ce n’est pas votre truc. Alors, on fait autrement. On propose des formations vivantes, rythmées, incarnées, où vous apprenez en vous amusant, en pratiquant, et surtout en vous disant à la fin : “Ah ouais, ça, je vais le réutiliser dès demain”. Et le meilleur dans tout ça ? Vous n’avez pas besoin d’être RH ou manager pour vous y mettre. Même si vous êtes freelance, alternant, ou en reconversion, développer votre écoute active, c’est un vrai investissement personnel. Et professionnel.

Vous voulez progresser sans vous endormir ? Par ici !

Sur notre site, on vous propose des formations en communication et en soft skills (dont l’écoute active), conçues pour être efficaces, accessibles, et sans jargon fumeux. 👉 Vous êtes curieux ? Vous avez envie de passer à l’action ? Venez jeter un œil à nos offres juste ici (promis, c’est sans engagement, sans fausse promesse, et sans PowerPoint soporifique).

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Regard clinique, posture ouverte, silence maîtrisé :
le diagnostic est clair, elle souffre d’un trop-plein de réunions mal animées. Heureusement, l’écoute active est remboursée par la bienveillance.

🧠 Envie d’aller plus loin dans la compréhension de l’autre ? Explorez les techniques comportementales avec cet atelier aussi puissant qu’accessible.

Écouter, c’est sexy (si, si), et ça s’apprend avec Repliks. On a souvent tendance à croire qu’écouter, c’est juste attendre son tour pour parler. Mais non. Écouter vraiment, c’est comprendre, créer du lien, éviter les quiproquos gênants et, soyons honnêtes, ça vous rend tout de suite plus cool (et plus compétent·e). Alors si vous avez envie de passer du statut d’auditeur passif à celui d’interlocuteur qu’on admire, il est peut-être temps de faire un petit détour par les formations Repliks. Pas de bla-bla inutile, juste du concret, du pratique, et un peu d’humour pour ne pas sombrer dans l’ennui.

👉 Curieux·se ? Rendez-vous ici !

📢 Et si vous avez envie de rigoler un peu (et d’apprendre deux-trois trucs au passage), on partage aussi nos billets d’humeur sur notre page LinkedIn. Promis, c’est plus drôle qu’un post corporate avec des emojis alignés.

Vos oreilles (et vos interlocuteurs) vous remercieront.

 

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