On vous le dit depuis des années : les managers doivent “travailler leurs soft skills”. Très bien. Mais comment fait-on concrètement ? Et surtout, pourquoi ça bloque ? Spoiler : parce que les soft skills sont des compétences humaines et qu’on ne les apprend pas dans un PowerPoint. D’ailleurs, selon une étude de LinkedIn, 92 % des professionnels RH estiment que les compétences humaines sont aussi importantes, voire plus, que les compétences techniques lors du recrutement*, preuve que ces savoir-être sont aujourd’hui essentiels en entreprise. On les vit, ensemble ! Et qu’on ne muscle pas l’intelligence émotionnelle tout seul devant un e-learning. Chez Repliks, on a fait le pari de former les leaders autrement. Avec du concret. Du collectif. Et des formats où on ne s’ennuie pas. Résultat : on a vu des managers devenir de vrais catalyseurs d’équipe. Et pas juste de bons exécutants. Voici les 3 compétences à activer en 2025, et comment notre programme BOOST les met en action sur le terrain. Vous être prêt.e à développer les compétences humaines en leadership collectif 2025 ?

1. L’intelligence émotionnelle

Traduction terrain : reconnaître ses émotions, capter celles des autres et en faire quelque chose de constructif. Dit comme ça, c’est mignon, ça ferait un super post LinkedIn avec une photo de coucher de soleil et la citation de Brené Brown en italique. Mais dans la vraie vie, ça ressemble à quoi ?

➤ C’est ce manager qui sent que son équipe décroche en réunion et qui décide de poser les PowerPoint pour demander : “Bon, qui en a marre et veut qu’on parle franchement ?”
➤ C’est cette cadre qui, au lieu de péter un câble façon drama Netflix, lâche un : “Ok les gars, là j’ai besoin de 10 minutes pour pas vous enterrer vivants sous mes mails de reproches.” Et ça, c’est du progrès.

Et on fait comment pour bosser ça sans finir en cercle de parole autour d’un feu de camp ? Chez BOOST, on s’entraîne en situation réelle. On provoque des réactions, des tensions, des silences gênants dignes des repas de famille où tonton Michel parle politique. Et on apprend à mettre des mots dessus. Pas à fuir. Pas à faire semblant. Et spoiler : parfois, ça pique. Mais au moins, ça évite les grands classiques du bureau : le passif-agressif déguisé en smiley 🙂 et les mails “comme convenu” envoyés à 22 h 04.

2. 👂 L’écoute (la vraie)

Pas celle où vous hochez la tête comme un robot en attendant juste que ça soit votre tour de parler. Spoiler : on voit clair, et ça ne marche pas. Un leader écouté, c’est un leader qui écoute vraiment. Mais attention, l’écoute, ce n’est pas un super pouvoir inné, ni un truc que vous maîtrisez juste parce que vous avez regardé un Ted Talk.

➤ Ça se teste.
➤ Ça se frotte.
➤ Et oui, ça se rate souvent. Comme ce fameux “oui, bien sûr” poli alors que t’as retenu zéro mot.

Dans nos sessions BOOST, on ne rigole pas avec ça. On crée des situations qui déstabilisent : dialogues croisés où tout part en vrille, récits tronqués à la sauce “on t’a menti”, jeux de rôle qui vous forcent à sortir de votre zone de confort. On vous pousse à ralentir, vraiment écouter, pas juste entendre. À reformuler sans projeter votre propre histoire, ni préparer votre réponse comme si c’était un débat présidentiel. Et c’est là que l’écoute devient active. Vraiment. Parce qu’au final, écouter, c’est moins “attendre son tour” que “entendre l’autre sans préparer sa revanche”. Ce qui, avouons-le, est souvent plus dur que d’apprendre à jongler.

3. 🤝 La décision collaborative

Prendre une décision ensemble, ce n’est pas lancer un sondage Slack avec des emojis et croiser les doigts pour que quelqu’un réponde autre chose que 🍕. L’incertitude est devenue une compétence à mettre sur son CV, les managers n’ont plus toutes les réponses (spoiler : ils ne les avaient pas avant non plus, mais maintenant, c’est officiel). Ce qu’ils doivent apprendre :

➤ À décider avec les autres, pas sur les autres.
➤ À faire émerger une solution sans l’imposer à coups de “Je ne veux pas influencer, mais…”.
➤ À co-construire sans que ça vire au consensus mou, cette fameuse réunion où tout le monde est d’accord sur un truc que personne n’a vraiment compris, mais comme ça, on peut aller déjeuner.

Comment on travaille ça chez BOOST ? On fout les participants dans des situations où l’ego, le chrono et la pression s’invitent à la fête. Des dilemmes bien velus, où vous devez choisir entre sauver le projet ou préserver la team, entre dire ce que vous pensez ou ce qu’ils veulent entendre. C’est là que les postures ressortent. Le leader qui veut tout contrôler. Celui qui esquive. Celle qui veut que tout le monde soit content. Et celui qui propose systématiquement qu’on vote, comme si on était à Koh-Lanta. Résultat : on apprend à s’ajuster ensemble. À décider vite, bien, et à assumer derrière. Parce qu’à un moment, il faut trancher. Et pas toujours dans le consensus chamallow.

Pourquoi développer les compétences humaines en leadership collectif 2025 ?

Parce que personne ne devient un leader en solo.
Parce que les soft skills sont des compétences relationnelles.
Parce que dans l’action collective, on se découvre vraiment.

Dans le programme BOOST, les participants :

• s’observent les uns les autres,
• reçoivent du feedback immédiat,
• et vivent des situations qu’on ne peut pas “intellectualiser” en slide.

On ne parle pas de collaboration. On la fait.

👇 En résumé

Le leadership 2025 ne sera ni vertical, ni parfait.
Il sera humain, adaptatif, imparfait… mais profondément connecté aux autres.

Vous voulez développer ça chez vos managers ?
🎯 Le programme BOOST est là pour ça.
On en parle ? Contactez-nous ici

En 2025, développer les compétences humaines en leadership collectif n’est plus une option, c’est une nécessité. Pour créer des équipes agiles, engagées et capables de prendre des décisions ensemble, il faut sortir des formations classiques et miser sur l’expérience partagée. Chez Repliks, nous croyons que la vraie montée en puissance passe par des ateliers vivants, où l’intelligence émotionnelle, l’écoute active et la prise de décision collective s’apprennent… ensemble. Prêt à transformer votre leadership ? Passons à l’action.

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Sources

• LinkedIn Talent Solutions, The Soft Skills Gap. 92 % des professionnels des ressources humaines estiment que les soft skills sont aussi importantes, voire plus, que les compétences techniques lors du recrutement. 🔗 Étude